La chasse au diable de Vauvert, le Balzac des enfants, les tourments d’une reine de France, la naissance du quartier latin, comptent parmi les nombreux thèmes évoqués au cours d’un itinéraire débutant par le jardin du Luxembourg, se prolongeant par l’église et le musée du Val de Grâce, et s’achevant au musée Zadkine.

Le palais d’une courtisane, l’église des lorettes, la demeure du « Napoléon aux petits pieds », la rue des divas, l’atelier d’un artiste énigmatique, le salon de thé secret, le théâtre de l’horreur, le square londonien… comptent parmi les jalons d’un itinéraire débutant à Notre-Dame-de- Lorette, passant par les musées de la Vie Romantique et Gustave Moreau et s’achevant devant l’église de La Trinité.

Peuplée de folies au 18ème siècle, fief de la grande bourgeoisie d’affaire au 19ème siècle, la Plaine Monceau est jalonnée de témoignages de son passé : Un Parc aux nombreuses fabriques et sculptures, des demeures au luxe exubérant, des collections d’art nées de la passion d’hommes d’exception…

L’itinéraire part de la place du Général Catroux, mène le visiteur dans le dédale des allées du Parc Monceau et des rues qui le bordent, ainsi que dans les anciennes demeures de Mr Camondo et de Mr Cernuschi transformées en musées.

Des résidences d’ambassadeurs, un hôtel au sombre passé, des jardins dissimulés, un passage gourmand, des magasins d’exception, le lieu le plus sacré de Paris, comptent parmi les nombreux thèmes évoqués au cours d’un itinéraire partant de l’Eglise Saint Thomas d’Aquin, se prolongeant par la rue du Bac, passant par les musées Maillol et Rodin et s’achevant au Bon Marché. 

Ancien zone marécageuse, le Marais devient l’un des quartiers les plus fastes de la capitale au 17ème siècle. Passé de mode quelques décennies plus tard, il est colonisé par des artisans et des petits commerçants. A l’aube de la Seconde Guerre Mondiale, la tuberculose sévit et les rats sont légion. les édifices sont délabrés. Le quartier échappe de justesse à la démolition massive. Il est aujourd’hui l’un des plus prisé de la capitale. L’itinéraire débute au Métro Saint Paul, passe par la Place des Vosges et les musées Carnavalet et Picasso, et s’achève à l’Hôtel Soubise. 

Le mur des « je t’aime », le refuge de Picasso, le rocher de la sorcière, le Château des brouillards, les vignes du Clos Montmartre, le cabaret des filous, le passe-muraille, comptent parmi les nombreux thèmes évoqués au cours d’un itinéraire débutant au métro Abbesses, passant par le Sacré-Cœur et le musée Montmartre, et s’achevant au métro Lamarck.

Une invitation à marcher sur les pas d’un Parisien du 19ème siècle qui après une visite au Salon annuel du Louvre où il s’indigne devant les toiles d’avant-garde, se réfugie néanmoins dans les passages couverts dont la modernité le fascine.
L’itinéraire commence devant ces tableaux qui firent scandale lors de leur présentation au public et qui comptent désormais parmi les chefs-d’oeuvre du musée de Louvre, et se poursuit dans les jardins du Palais-Royal, la place des Victoires et les Grands Boulevards, à la découverte des plus beaux passages couverts parisiens. 

Domaine des moines avant de devenir le fief des philosophes des Lumières puis des existentialistes, le quartier de Saint-Germain-des-Près est jalonné de témoignages de son passé. L’itinéraire part du Café des Deux Magots, mène le visiteur dans la plus ancienne église de Paris puis dans le musée Delacroix avant d’emprunter un dédale de ruelles et de cours secrètes, à la rencontre des fantômes du passé.